On ne peut pas ne pas communiquer ! PNL
Donc ce nouvel article, Marie nous en dit plus sur celui intitulé "On ne peut pas ne pas communiquer !"
La PNL évolue chaque jour, au travers des chercheurs et surtout des
pratiquants. Si vous avez cherché à en savoir plus, vous aurez constaté
certains en signalent 8, 9 et d’autres 11. Mais si vous comparez les différents
auteurs, vous constaterez que certains les ont regroupés et d’autres divisés.
Moi, j’aime les chiffres ronds. J’ai donc opté pour les 10.
Vous avez peut être remarqué également que l’ordre n’est pas
toujours le même. C’est parce qu’il est fonction de l’axe par lequel vous
abordez la PNL. Le mien étant la communication, le premier présupposé dont je
vais vous parler… et bien c’est :
On ne peut pas ne pas
communiquer !
« Ben et si je me tais, que je refuse d’adresser la
parole à quelqu’un ? Je ne communique pas avec lui ! »
Et bien si….
Que vous le vouliez ou non, chaque geste, chaque mimique,
chaque respiration, tout est communication.
Et cela va même beaucoup plus loin.
Le regard, l’attitude, la manière de se coiffer, de se maquiller, de se vêtir
est communication.
Songez à la manière dont vous vous habillez pour un
rendez-vous. Vous choisirez avec soin certaines pièces pour un rendez-vous
professionnel que vous ne porteriez certainement pas pour aller retrouver votre
amoureux et vice versa…
Le message qui va passer alors sera un mélange de
sérieux, de sobriété ou au contraire de créativité en fonction du poste
convoité.
Et ne me dites pas que vous irez retrouver votre chéri en tailleur
strict !
A moins de l’assortir à de petits dessous sexy.
Cette coquinerie, connue
de vous seule, passera malgré tout dans vos yeux ou votre démarche…
Dans ces
cas, c’est un acte volontaire de paraître qui motive votre attitude ou votre
choix.
Vous voulez coller à l’image recherchée par l’entreprise ou faire
plaisir ou plus simplement vous sentir désirable avec votre moitié (ou future
moitié J)
Par contre, certains évènements influent sur notre communication.
Le stress, la fatigue, la maladie nous amènent à transmettre un message parfois
éloigné de celui que l’on aurait voulu… qui n’a jamais entendu « oh ça ne
va pas toi ? » et vous de répondre « ben si
pourquoi ? » alors que vous savez pertinemment bien que tout n’est
pas rose.
Simplement, avec l’accumulation de petites contrariétés durant la
journée, un simple regard, un oubli de la part d’un de vos proches peut amener
à une réaction pour le moins étonnante pour votre interlocuteur qui n’est pas
au courant de vos soucis.
Et rompre tout dialogue.
Quand je parle de vous,
c’est valable aussi pour les personnes qui vous entourent.
Et le silence ?
Ces « blancs » dans une conversation, cette pause qui en dit
plus que des mots ?
C’est à ce moment que la communication prend la pleine
mesure de la relation. Lorsque l’on a appris et que l’on maitrise le choix des
mots, le ton de sa voix (par des techniques théâtrales par exemple), il reste
un point dans la relation avec lequel on ne peut pas jouer.
Certaines parties
du corps ne mentent pas.
Mais nous aborderons ceci en détail plus tard.
Ici,
nous nous préoccupons de ce silence, respiration nécessaire, parfois lourd,
glacial ou au contraire tellement porteur de positivité que les mots sont
devenus inutiles.
Lors d’un de ces silences, observez le regard de la personne
à qui vous vous adressez, il vous apportera un premier élément sur son ressenti.
Les micro-démangeaisons également.
Se touche-t-il le visage ?
Le nez est
le siège du stress.
La couleur de la peau apporte aussi des informations
utiles.
Rougir ou blêmir exprime aussi certaines choses.
Faites le test sur
vous-même, sans perdre de vue que chaque humain réagit différemment.
Ce qui se
passe chez vous n’est pas forcement ce qui se produira chez votre
interlocuteur.
Regardez-vous dans une glace.
Et songez à
un évènement agréable ou au contraire qui vous plonge dans un sentiment de
mal-être, vous constaterez que certains gestes apparaissent systématiquement.
Prenez en conscience mais n’en faites pas une généralité.
Ce n’est pas
forcement parce qu’elle rougit qu’une personne est gênée ou heureuse….
Vous
confondre en excuses ou la prendre dans vos bras ne résoudra peut être rien.
Prenez en compte aussi l’environnement et… ouvrez la fenêtre, il fait peut-être
tout simplement trop chaud !
Dès à présent, vous pouvez commencer à vous interroger sur
le message que vous voulez faire passer, au travers de votre attitude, de votre
ton de voix (un « c’est du joli » prononcé de manière ironique,
agressive ou tendre n’a pas du tout la même signification) et surtout au message que la personne en face
de vous tente d’exprimer… mais comme je viens de vous le faire remarquer,
malgré ce que nous avons déjà évoqué, tout n’est pas aussi évident que ça ne le
parait, ce serait trop simple.
Avec le deuxième présupposé je vous emmène dans le monde des
Autres…
A bientôt…"
Par Marie Lambillotte
Commentaires
Enregistrer un commentaire